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Qu’est-ce qu’un travailleur indépendant ?

Devenir travailleur indépendant attire de plus en plus de personnes à la recherche d’autonomie et de flexibilité dans leur travail. Que ce soit en tant qu’auto-entrepreneur, freelance ou sous une autre forme d’auto entreprise, ce statut offre la liberté de choisir ses missions et d’organiser son temps.

Cependant, se lancer dans cette aventure demande de bien comprendre les règles, les conditions à remplir et les différentes étapes à suivre pour réussir. Dans cet article, nous vous donnons tous les détails essentiels pour bien démarrer en tant que travailleur indépendant.

Travailleur indépendant: définition

Un travailleur indépendant est une personne qui exerce une activité professionnelle en toute autonomie, sans être liée à un employeur par un contrat de travail. Cette indépendance lui permet de gérer son emploi du temps, ses missions et ses relations avec ses clients.

Contrairement à un salarié, il assume l’entière responsabilité de la gestion de son chiffre d’affaires, de ses charges, ainsi que de sa protection sociale. Il doit également s’occuper de son régime de cotisations sociales.

Le travailleur indépendant peut exercer son activité dans divers secteurs : les services, le conseil, l’artisanat ou encore les métiers créatifs. Il peut également choisir différents statuts juridiques pour structurer son activité, en fonction de la nature et de l’ampleur de son projet.

Ces options lui permettent d’adapter son activité à ses besoins et aux exigences du marché, tout en bénéficiant d’une grande liberté d’organisation.

Quelle est la différence entre travailleur indépendant et auto-entrepreneur ?

La différence entre un travailleur indépendant et un auto-entrepreneur repose principalement sur le statut juridique et les régimes associés. Un travailleur indépendant est un terme général. Il désigne toute personne qui exerce une activité professionnelle de manière autonome, sans lien de subordination avec un employeur. 

Il peut exercer sous plusieurs statuts juridiques, comme la micro-entreprise, la SARL, SASU, EURL, etc. Ce statut offre une flexibilité en matière de gestion des activités et des revenus. Cependant, cela implique aussi des formalités administratives, fiscales et sociales qui varient selon la forme juridique choisie.

L’auto-entrepreneur (également appelé micro-entrepreneur) est une sous-catégorie du travailleur indépendant. Ce régime simplifié permet à ceux qui souhaitent lancer une activité avec peu de contraintes administratives et de coûts de gestion de bénéficier d’un cadre avantageux. 

Le régime de la micro entreprise propose un calcul allégé des cotisations sociales et une comptabilité simplifiée. Cependant, l’auto entrepreneur doit respecter des plafonds de chiffre d’affaires : 188 700 € pour les activités commerciales et 77 700 € pour les prestations de services en 2024. Si ces plafonds sont dépassés, le statut bascule vers une entreprise individuelle classique, avec un régime fiscal et social plus complexe.

En résumé, tout auto-entrepreneur est un travailleur indépendant, mais tous les travailleurs indépendants ne sont pas des auto-entrepreneurs. Le régime de l’auto-entreprise est idéal pour ceux qui veulent démarrer une activité à petite échelle, avec des formalités réduites.

Quant à eux, les autres travailleurs indépendants peuvent opter pour des statuts plus structurés, qui offrent davantage de possibilités en matière de gestion, mais aussi plus d’obligations administratives.

Lancer sa micro entreprise

Quelles sont les conditions pour être travailleur indépendant ?

Certaines conditions pratiques et stratégiques doivent être prises en compte pour réussir en tant que travailleur indépendant.

Il s’agit des suivants :

  • Capacités financières minimales : même si le statut de micro-entrepreneur ou d’auto-entrepreneur n’exige pas un apport de capital au départ, il est important d’avoir un minimum de fonds. Cela permet d’assurer la prise en charge des premières dépenses liées à l’activité (outils, site internet, communication).
  • Aptitude à la gestion du risque : un travailleur indépendant doit être capable de gérer les fluctuations de son chiffre d’affaires. Il est important de mettre en place des stratégies pour anticiper ces moments de creux. Les conditions de travail sont très différentes de celles d’un salarié, avec des revenus plus variables et moins de sécurité. Il est donc conseillé de prévoir une trésorerie pour couvrir ces périodes
  • Connaissance du marché : avant de vous lancer, menez une réflexion approfondie sur le marché dans lequel vous souhaitez évoluer. Comprendre les règles qui régissent votre secteur et les attentes des clients est important pour la réussite de votre projet. Que vous soyez en auto-entreprise, micro entreprise ou tout autre statut, connaître vos concurrents et repérer les opportunités est une idée clé pour se positionner efficacement.
  • Réseau professionnel : le développement d’un réseau est indispensable pour se faire connaître et obtenir des contrats. En tant qu’auto-entrepreneur, il est essentiel de tisser des liens avec d’autres professionnels et clients potentiels. Ce réseau pourra vous donner des conseils et vous aider à naviguer votre marché.
  • Mise à jour régulière des compétences : c’est nécessaire pour rester compétitif, notamment dans des secteurs en constante évolution comme le numérique. La capacité à apprendre de nouvelles techniques ou à se tenir au courant des sujets d’actualité dans votre domaine est essentielle pour répondre aux besoins de vos clients.
  • Compétences en vente et négociation : en tant qu’indépendant, la vente de vos services ou produits devient une priorité. La capacité à négocier des tarifs et à conclure des contrats est une condition indispensable
  • Adaptabilité et résilience : dans une micro entreprise, l’environnement peut changer rapidement. Les conditions de travail évoluent en fonction des opportunités et des défis du marché. La raison pour laquelle un travailleur indépendant réussit tient souvent à sa capacité à s’adapter aux changements. Vous devez être prêt à pivoter votre activité si nécessaire et à revoir vos objectifs pour rester pertinent.

Devenir travailleur indépendant demande une réflexion approfondie sur la gestion des risques, la mise à jour constante de vos compétences, et la capacité à naviguer dans un marché en évolution. Respecter ces conditions vous aidera à surmonter les défis à venir !

Vous aurez aussi besoin de matériel approprié pour facturer vos clients. Vous pouvez opter pour un terminal de paiement électronique mobile par exemple, ou encore un terminal de paiement pour distributeur automatique.

Quels sont les métiers des travailleurs indépendants ?

Les travailleurs indépendants exercent dans une grande diversité de métiers, répartis dans différents secteurs d’activité.

Voici les principaux domaines dans lesquels on retrouve souvent ces professionnels :

  • Prestations de services en ligne : les indépendants sont nombreux à offrir des services dans des domaines tels que la rédaction web, la traduction, le marketing digital, ou encore le conseil en gestion d’entreprise.

    Les consultants, experts en stratégie ou en communication, sont également des profils fréquents. Le secteur numérique est un des plus dynamiques pour les freelances. Les développeurs web, graphistes, créateurs de contenu, ou spécialistes du référencement (SEO) travaillent souvent en tant qu’indépendants.
  • Artisanat et métiers manuels : les artisans comme les électriciens, plombiers, menuisiers ou encore les coiffeurs sont souvent des travailleurs indépendants. Ils gèrent leur propre entreprise et offrent leurs services directement aux particuliers ou aux entreprises
  • Créateurs et métiers artistiques : les métiers créatifs comme les designers, photographes, illustrateurs ou artistes sont également souvent exercés sous le statut d’indépendant. Ces professionnels vendent leurs œuvres ou prestations sur commande
  • Métiers de la santé et du bien-être : de nombreux travailleurs indépendants se spécialisent dans le bien-être, comme les coachs sportifs, les diététiciens, les ostéopathes, ou encore les sophrologues
  • Formateurs et enseignants : les formateurs en langues, informatique ou développement personnel travaillent régulièrement en tant qu’indépendants, et proposent leurs formations en présentiel ou en ligne.

Les métiers des travailleurs indépendants couvrent donc un large éventail de secteurs. Les opportunités professionnelles sont nombreuses !

Comment devenir travailleur indépendant

Comment devenir un travailleur indépendant ?

Pour devenir travailleur indépendant, il faut structurer et lancer son activité de manière légale et efficace.

Voici les principales démarches à suivre :

  • Définir son projet : avant de se lancer, il est essentiel de bien définir le type d’activité que l’on souhaite exercer. Une étude de marché peut être utile pour évaluer la demande et la concurrence.
  • Choisir le statut juridique adapté à l’activité. Le plus simple pour démarrer est souvent le statut de micro entrepreneur, mais d’autres options comme l’EURL ou la SASU offrent davantage de protection et de flexibilité. Cela dépend de la nature de l’activité et de ses objectifs de développement.
  • Immatriculer son entreprise auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE). Cela permet d’obtenir un numéro SIRET, obligatoire pour exercer en tant que travailleur indépendant. Cette démarche est simple pour les micro-entrepreneurs, qui peuvent tout faire en ligne, tandis que d’autres statuts nécessitent des formalités supplémentaires.
  • Ouvrir un compte bancaire professionnel : même si cela n’est obligatoire que pour certains statuts comme l’auto entreprise, il est fortement recommandé d’ouvrir un compte bancaire dédié à l’activité pour séparer les finances personnelles des finances professionnelles.
  • Souscrire à une protection sociale auprès de la Sécurité sociale des indépendants (SSI) pour bénéficier d’une couverture en matière de santé, de retraite, et d’allocations. Le régime de cotisations sociales varie en fonction du chiffre d’affaires et du statut choisi.
  • Mettre en place sa gestion comptable, même simplifiée. Un logiciel de gestion peut être utile pour suivre les revenus, les dépenses, et assurer la bonne déclaration fiscale et sociale. Les auto entrepreneurs ont une comptabilité allégée, mais d’autres statuts exigent des formalités plus complexes
  • Domicilier son activité : il peut s’agir de son domicile, d’un local dédié ou encore d’un espace de coworking. La domiciliation est importante pour recevoir les courriers administratifs et officialiser l’existence de l’entreprise.

Suivez ces étapes pour devenir travailleur indépendant et commencer à développer votre activité professionnelle en toute autonomie.

Quels sont les critères à remplir pour devenir travailleur indépendant ?

Pour devenir travailleur indépendant, il est nécessaire d’avoir au moins 18 ans. Les mineurs émancipés peuvent également devenir travailleurs indépendants sous certaines conditions légales.

En revanche, il n’est pas obligatoire d’être citoyen français pour être travailleur indépendant en France. Cependant, il faut avoir le droit de résider et de travailler sur le territoire. Les citoyens étrangers hors UE doivent détenir une carte de séjour avec l’autorisation d’exercer une activité non salariée.

Vous devez également être en pleine possession de vos droits civils. Cela signifie qu’une personne placée sous tutelle ou curatelle ne peut pas exercer en tant que travailleur indépendant sans l’accord de son tuteur ou curateur.

Par ailleurs, certaines professions exigent des qualifications spécifiques ou des diplômes. C’est le cas pour les métiers du bâtiment, de la santé, ou certaines professions libérales. Vérifiez les conditions liées à votre domaine.

Le statut de travailleur indépendant nécessite une grande autonomie, de l’organisation et une capacité à gérer son temps, ses finances et son activité. Il faut être capable de gérer l’incertitude liée à la variation des revenus et à la recherche de clients.

Comment choisir le nom de son entreprise ?

Le choix du nom de l’entreprise doit refléter à la fois l’identité de l’entreprise et son domaine d’intervention. Lorsque vous choisissez votre nom, vérifiez que ce dernier n’est pas déjà utilisé par une autre société. Pour le faire, lancez une recherche auprès de l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle). Un bon nom d’entreprise contribue à l’image professionnelle et peut avoir un impact direct sur la tendance du marché.

Travailler en tant qu’indépendant

La domiciliation de l’entreprise du travailleur indépendant

La domiciliation est l’adresse officielle de l’entreprise, qui sera utilisée pour recevoir le courrier administratif et fiscal. Les indépendants peuvent choisir de domicilier leur entreprise à leur domicile personnel, dans un espace de coworking, ou encore dans une société de portage qui propose ce service. Elle joue aussi un rôle dans la gestion administrative, notamment pour les démarches fiscales.

Les formalités de création selon le statut juridique travailleur indépendant choisi

Les formalités de création varient en fonction du statut juridique choisi par le travailleur indépendant. Pour une micro-entreprise ou un auto-entrepreneur, les démarches sont simplifiées et peuvent être effectuées en ligne en quelques minutes. Il suffit de s’inscrire au Répertoire des Métiers ou au Registre du Commerce, selon l’activité. 

En revanche, pour des structures plus complexes comme l’EURL ou la SASU, les formalités de création impliquent la rédaction de statuts, le dépôt de capital social, et l’immatriculation au tribunal de commerce. Chaque étape doit être respectée pour obtenir un numéro de SIRET, indispensable pour exercer légalement.

Quels sont les avantages et inconvénients du statut de travailleur indépendant ?

Le statut de travailleur indépendant offre de nombreux avantages: 

  • La flexibilité ;
  • L’autonomie dans la gestion du temps ;
  • La possibilité de choisir ses missions ou prestations ;
  • La possibilité de diversifier ses clients et d’augmenter ses revenus selon son implication et les opportunités sur le marché.

Cependant, ce statut comporte aussi des inconvénients : 

  • L’absence de contrat de travail stable ;
  • La variabilité des revenus ;
  • La gestion complète de ses cotisations sociales et fiscales.

Ces inconvénients peuvent rendre ce choix plus complexe. Il est donc essentiel de bien s’informer et de se préparer aux risques avant de se lancer.

Quels sont les charges sociales et le régime fiscal du travailleur indépendant ?

Le travailleur indépendant est soumis à des charges sociales calculées en fonction de son chiffre d’affaires ou de ses revenus professionnels.

Ces charges comprennent : 

  • Les cotisations pour la Sécurité sociale ;
  • La retraite ;
  • L’assurance maladie ;
  • La protection sociale.

Le régime fiscal dépend également du statut choisi. Par exemple, le régime micro social simplifie le paiement des charges sociales pour les auto-entrepreneurs en prélevant un pourcentage fixe sur le chiffre d’affaires. Pour les autres formes juridiques, la fiscalité est plus complexe, notamment avec l’impôt sur les sociétés ou sur le revenu selon les bénéfices générés.

Homme travailleur indépendant

Les différents régimes sociaux du travailleur indépendant

Le travailleur indépendant bénéficie de régimes sociaux spécifiques qui diffèrent selon le statut juridique choisi. Ces régimes permettent d’assurer une couverture en matière de santé, de retraite, et de cotisations sociales.

Voici les principaux régimes sociaux pour les indépendants :

  • Sécurité Sociale des Indépendants (SSI). Ce régime couvre la santé (remboursements de soins, maternité), la retraite, ainsi que les indemnités en cas de maladie ou d’accident. Tous les auto-entrepreneurs, artisans, commerçants et professions libérales relèvent de ce régime, qui calcule les cotisations en fonction du chiffre d’affaires ou des revenus professionnels.
  • Régime général de la Sécurité sociale via le portage salarial. Dans le cadre du portage salarial, le travailleur indépendant bénéficie du régime général de la Sécurité sociale comme un salarié classique. Cela inclut une meilleure couverture sociale (assurance chômage, congés payés, retraite) que dans les autres statuts d’indépendants. En contrepartie, le travailleur est lié à une société de portage, qui gère ses cotisations sociales et les obligations administratives, moyennant des frais.
  • Régime des professions libérales. Les professions libérales réglementées (avocats, médecins, architectes, etc.) sont affiliées à des caisses de retraite et de prévoyance spécifiques en fonction de leur profession. Ces régimes sont souvent gérés par des ordres ou des syndicats professionnels, et proposent une couverture sociale adaptée à leurs particularités
  • Régime agricole. Les travailleurs indépendants exerçant une activité agricole relèvent du régime de la Mutualité Sociale Agricole (MSA). Ce régime couvre les exploitants agricoles en matière de santé, d’accidents du travail et de retraite. Il est distinct des autres régimes et propose des prestations spécifiques pour cette profession.
  • Régime micro-social simplifié. Les auto entrepreneurs bénéficient du régime micro-social simplifié, qui leur permet de payer leurs cotisations sociales en fonction d’un pourcentage fixe de leur chiffre d’affaires. Ce régime simplifie les démarches administratives et offre une couverture sociale allégée, proportionnelle aux revenus générés.

En fonction de l’activité et du statut juridique choisi, le travailleur indépendant doit donc s’affilier à l’un de ces régimes sociaux pour bénéficier d’une protection adaptée à sa situation. Chaque régime présente des spécificités en termes de cotisations et de prestations, qui doivent être prises en compte lors du choix du statut d’indépendant.

Quelles sont les aides possibles pour le travailleur indépendant ?

Si vous êtes travailleur indépendant, plusieurs aides peuvent vous donner un vrai coup de pouce pour démarrer ou gérer les périodes plus difficiles :

  • ACRE (Aide à la création ou à la reprise d’une entreprise) : vous bénéficiez d’une réduction des cotisations sociales durant votre première année d’activité, ce qui allège un peu la pression financière au début.
  • ARCE (Aide à la reprise ou à la création d’entreprise) : si vous êtes demandeur d’emploi, une partie de vos allocations chômage peut vous être versée en capital pour financer votre projet.
  • NACRE : (Nouvel accompagnement à la création ou la reprise d’entreprise) c’est un accompagnement gratuit sur trois ans pour vous aider à monter votre entreprise et à obtenir des financements.
  • Fonds de Solidarité : cette aide, créée pendant la crise, peut encore être disponible si vous traversez des difficultés économiques.
  • Aides locales : certaines régions ou villes proposent des subventions ou des exonérations fiscales qui peuvent vraiment faire la différence.
  • Microcrédit : vous pouvez obtenir jusqu’à 10 000 € de prêt pour financer vos équipements ou renforcer votre trésorerie.

Ces aides sont là pour vous soutenir, que ce soit au lancement de votre activité ou en cas de coup dur.

Jeune femme micro entrepreneur

Questions Fréquemment Posées

Le statut d’auto-entrepreneur est idéal pour les petites activités avec des revenus modérés, car il offre une comptabilité simplifiée et des cotisations sociales allégées. Cependant, il impose des plafonds de chiffre d’affaires. Pour des activités avec des revenus plus élevés ou une croissance rapide, un autre statut comme l’EURL peut être plus approprié.

Oui, il est possible de cumuler un emploi salarié avec une activité en tant que travailleur indépendant. Cela permet d’avoir un revenu complémentaire tout en bénéficiant de la sécurité de l’emploi salarié. Toutefois, il faut s’assurer que le contrat de travail ne comporte pas de clauses d’exclusivité ou de non-concurrence.

Le portage salarial permet au travailleur indépendant de bénéficier du régime général de la Sécurité sociale (assurance chômage, retraite, congés payés) tout en gardant son autonomie dans la gestion de ses missions. Il est particulièrement avantageux pour ceux qui veulent une protection similaire à celle d’un salarié sans créer leur propre entreprise.

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